Cliquez ici >>> đŸ›· un petit frĂšre pas comme les autres chapitre 1

chapitredeux. 1er septembre 2017, Quartier de Chelsea, Londres 9h30. C'est d'un pas Ă©nergique que Harry remonta la rue fleurie de ce quartier, bien trop impersonnelle Ă  son goĂ»t. Ici, tout semblait ĂȘtre Ă  sa place, rien ne dĂ©passait. Chaque maison disposait de son petit jardinet parfaitement entretenu. Des haies taillĂ©es au millimĂštre Avecmoi, tu vas subir un relooking, ma chĂšre Ăš_Ă© Tu vas CHANGER ! Tu auras les cheveux longs, tu seras gentille, Natsu sera comme ton frĂšre et tu vas faire une dĂ©pression parce que Lucy est morte ! Ăš___Ă© Lisanna : Naaaaaan T^T Siiii Ăš_Ă© *se prend un dico* commeil se plaisait Ă  les appeler. Les Autres. C’était tous ces ĂȘtres qui semblaient d’un autre monde, qui ne pensaient pas comme lui, qui se moquaient de lui. Sa famille. Ses voisins qu’il ne voyait que le soir lorsqu’il rĂȘvait Ă  sa fenĂȘtre en regardant la pluie tomber. Les Autres. C’est ainsi qu’il les avait nommĂ©s. Exercicesur le chapitre 1 1. Pourquoi Lili-Lapin a-t-elle envie de se fĂącher contre Doudou-Lapin ? 2. Pourquoi Lili-Lapin est-elle trĂšs en colĂšre quand ses copains se moquent de son petit frĂšre ? 3. Pourquoi Lili dit-elle Ă  ses copains qu’elle les dĂ©teste ? Exercice sur le chapitre 1 de Un petit frĂšre pas comme les autres. Exercicesur le chapitre 1 1. Pourquoi Lili-Lapin a-t-elle envie de se fĂącher contre Doudou-Lapin ? 2. Pourquoi Lili-Lapin est-elle trĂšs en colĂšre quand ses copains se moquent de son petit frĂšre ? 3. Pourquoi Lili dit-elle Ă  ses copains qu’elle les dĂ©teste ? Exercice sur le chapitre 1 de Un petit frĂšre pas comme les autres. Title: Date: 4/5/2018 4:54: Site De Rencontre Ado Gratuit Non Payant. 149K 17 ~ AVAILABLE ON AMAZON ~ She hated riding the subway. It was cramped, smelled, and the seats were extremely unc... 147M 100 [COMPLETE][EDITING] Ace Hernandez, the Mafia King, known as the Devil. Sofia Diaz, known as an angel. 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Le camp Ă©tant juste Ă  l’extĂ©rieur des portes de la citĂ©, Zhou Weiqing s’y dirigea tout excitĂ©, touchant sa toute nouvelle armure interne et son chapeau de 1 kg fraĂźchement fabriquĂ© sur mesure. Il semblait avoir totalement oubliĂ© les troubles qu’il avait causĂ©s hier. Alors qu’il entrait dans le camp, il tomba sur un visage familier. C’était le lieutenant qui lui avait demandĂ© comment Ă©taient les “pectoraux” du commandant. La seule diffĂ©rence Ă©tait qu’il avait cette fois une expression sĂ©rieuse alors qu’il arrĂȘta Zhou Weiqing d’une main. “Tu es Petit gros Zhou non?” Zhou Weiqing lui fit un gentil sourire “Oui! Grand frĂšre lieutenant, c’est bien moi.” Le lieutenant lui rĂ©pond d’une voix sĂ©vĂšre “Quel grand frĂšre? Dans l’armĂ©e il n’y a que nos postes et rangs. Je suis Mao Li, lieutenant du 5e rĂ©giment, 3e bataillon, 4e compagnie. À partir de maintenant, tu es un membre de ma 4e compagnie, compris ?” Zhou Weiqing lui rĂ©pondit “Compris.” MĂȘme s’il avait dit ça, dans son cƓur il Ă©tait en train de diffamer le lieutenant. Mao li? Un Ăąne? Le lieutenant Ăąne? Mao Li sonne comme Mao Lu qui veut effectivement dire Ăąne Le lieutenant ne savait pas que ce moment de silence avait donnĂ© Ă  ce petit vaurien du temps pour lui trouvĂ© un surnom, surnom qui le suivrait tout au long de sa carriĂšre militaire. “Suis moi”, Mao Li se retourna et se dirigea vers la tente principale. Zhou Weiqing le suivit, perplexe, se demandant pourquoi le lieutenant s’occupait personnellement de lui. AprĂšs tout, il n’était qu’une nouvelle recrue. Un officier serait normalement suffisant pour s’occuper de lui. AprĂšs tout, un lieutenant s’occupait de 100 hommes et pour l’Empire des Arcs Divins qui Ă©tait une petite armĂ©e, ils Ă©taient considĂ©rĂ©s comme des officiers de rang moyen dans l’armĂ©e. De l’autre cĂŽtĂ©, un commandant de bataillon comme Shangguan Bing’er Ă©tait dĂ©jĂ  considĂ©rĂ© comme un gĂ©nĂ©ral de haut rang. Mao Li l’emmena de plus en plus loin dans le camp, jusqu’à un endroit isolĂ©, avant de finalement entrer dans une petite tente loin des autres. Zhou Weiqing le suivit Ă  l’intĂ©rieur. La tente faisait 10mÂČ Ă  l’intĂ©rieur et il y avait seulement un petit lit militaire, sans aucune dĂ©coration ou Ă©quipement. Mao Li se tenait dans la tente et lui dit “Avant la fin de la pĂ©riode de recrutement et jusqu’à ce que nous commencions l’entraĂźnement des recrues, tu resteras ici. Cette fois, notre rĂ©giment recrutera 5000 hommes et notre 3e bataillon une centaine, j’estime que ça prendra au moins encore 2 semaines.” Zhou Weiqing lui rĂ©pondit surpris “Wow, lieutenant, le traitement des soldats est merveilleux, on a notre tente personnelle?” “Heh heh” Mao Li rit, rĂ©pondant “Bien sĂ»r que non, c’est spĂ©cialement pour toi. Petit vaurien, je ne peux pas t’aider et tu dois prendre la responsabilitĂ© de tes actions. Bon, repose-toi pour l’instant. La cafĂ©tĂ©ria de l’armĂ©e est dans le quadrant gauche du camp et devrait ĂȘtre assez facile Ă  trouver. Quand ce sera l’heure de nous rendre au camp des recrues quelqu’un viendra t’informer.” Disant cela, il se retourna et s’en alla. AprĂšs que Mao Li soit parti, Zhou Weiqing eut un mauvais pressentiment Ă  propos du scĂ©nario actuel. Il enleva son arc et son carquois et les dĂ©posa par terre avant de sortir de sa tente. Plus tĂŽt, il n’avait pas fait attention Ă  son emplacement. Cette fois, avec un pincement au cƓur, il remarqua que la tente la plus proche Ă©tait Ă  50m de lui. On pouvait dire qu’il Ă©tait tout au fond du camp. Se pourrait-il que sa vraie identitĂ© ait Ă©tĂ© dĂ©couverte? C’était impossible! Il avait Ă©tĂ© tellement prudent. Soudainement un magnifique mais furieux visage apparut dans l’esprit de Zhou Weiqing et son cƓur pleura, se murmurant “Shangguan Bing’er, cette fille est le gĂ©nie de l’Empire et ne devrait pas ĂȘtre une bimbo Ă  gros seins rancuniĂšre, non?” “Petit
 Gros
 Zhou
!” À ce moment, une voix furieuse qui avait clairement les dents serrĂ©es de rage se fit entendre. La voix Ă©tait enchanteresse comme le gazouillis des oiseaux, mais le ton ne laissait rien prĂ©sager de bon pour lui. Zhou Weiqing se retourna rapidement, pour voir la commandante habillĂ©e d’un uniforme d’entraĂźnement de l’armĂ©e avec un long arc violet sur son dos. Zhou Weiqing ne put s’empĂȘcher de la fixer des yeux Ă©bahis. Elle avait ses cheveux en queue de cheval et elle ne portait pas d’armure, ce qui permettait aux vĂȘtements d’accentuer ses courbes. Ajoutant Ă  ça l’arc dans son dos, elle Ă©tait l’image mĂȘme d’une belle et vaillante guerriĂšre. Malheureusement, l’expression sur son beau visage Ă©tait trĂšs sombre, comme si elle allait cracher du feu. Elle l’avait clairement entendu prononcer “Bimbo Ă  gros seins”. “Urgh, mais quelle sorte de chance est-ce lĂ ?” Zhou Weiqing soupira dans son cƓur, montrant rapidement son sourire honnĂȘte qui Ă©tait sa signature “Commandante! J’étais justement en train de faire l’éloge de votre
 euh
 votre croissance
 dĂ©veloppement!” Ayant Ă©tĂ© pris la main dans le sac, mĂȘme la langue dĂ©sinvolte de Zhou Weiqing n’avait pas idĂ©e de comment le sortir de lĂ . Shangguan Bing’er Ă©tait furieuse! Elle avait originalement demandĂ© au lieutenant Mao Li d’assigner Zhou Weiqing Ă  cette tente isolĂ©e pour qu’elle puisse prendre sa revanche sur lui. Au dĂ©but, elle se sentait un peu coupable, se demandant si elle Ă©tait trop dure avec lui. AprĂšs tout, il n’était qu’une nouvelle recrue, et mĂȘme s’il Ă©tait excellent pour la mettre en rage, ses prĂ©cĂ©dents mĂ©faits Ă©taient tous accidentels. Mais aprĂšs avoir Ă©coutĂ© ses paroles Ă  l’instant, comment pourrait-elle ĂȘtre dupĂ©e par son visage honnĂȘte. “Soldat Zhou!” Lui cria-t-elle fortement. Zhou Weiqing se redressa, il n’y avait aucune comparaison entre eux, aprĂšs tout Shangguan Bing’er n’était pas seulement son officiĂšre commandante qui avait un rang beaucoup plus Ă©levĂ©, mais elle Ă©tait aussi une Maitresse des joyaux cĂ©lestes. Comme le disait le proverbe, “un homme sage ne se bat pas quand les chances sont contre lui”. Shangguan Bing’er prit dans sa main un fouet pour chevaux qui se trouvait autour de ses hanches et regarda mĂ©chamment Zhou Weiqing lui disant “Soldat Zhou, pour avoir insultĂ© un officier supĂ©rieur, votre punition est de recevoir 10 coups de fouet. La pĂ©nalitĂ© sera administrĂ©e par moi-mĂȘme. Petit gros Zhou retourne toi maintenant.” Zhou Weiqing regardait abattu le fouet que tenait Shangguan Bing’er. Il n’avait pas imaginĂ© qu’il se ferait fouetter la premiĂšre journĂ©e dans le camp. Mais maintenant qu’il Ă©tait sous les ordres du commandant, il ne pouvait que se retourner, contre sa volontĂ©, le cƓur lourd. Shangguan Bing’er lui donna un “Hmhp”, et d’un pas rapide se retrouva derriĂšre lui alors qu’un *PAH* sonna alors que le fouet s’abattait sur son dos. “AHHHHHHHHHH!” Zhou Weiqing poussa un cri perçant comme s’il se faisait castrer. Tout son corps tomba face premiĂšre contre le sol, se roulant d’agonie. Shangguan Bing’er regarda le fouet dans ses mains, perplexe, hĂ©sitant et se demandant “C’est si douloureux? Je n’ai mĂȘme pas utilisĂ© d’énergie dans ce coup! Ce petit gros Zhou Ă  l’air tellement fort, qui aurait cru qu’il serait si fragile?” Les talents d’acteur de Zhou Weiqing Ă©taient si rĂ©alistes que son corps se courba de douleur alors qu’il se roulait par terre comme s’il allait mourir. Si on parlait de se faire battre, qui pourrait bien avoir plus d’expĂ©rience que lui? Depuis qu’il Ă©tait jeune, il s’était fait punir un nombre incalculable de fois par son pĂšre et avait de l’expĂ©rience pour simuler toute sorte de situation alors qu’il se faisait battre. Quand Shangguan Bing’er l’avait fouettĂ©, il avait dĂ©jĂ  propulsĂ© son corps en avant avec un timing parfait pour rĂ©duire l’impact sur son dos. En y ajoutant ses talents d’acteur et le scĂ©nario qui consistait Ă  utiliser la douleur, il gagnait de la sympathie. Il avait Ă©normĂ©ment d’expĂ©rience pour utiliser cette tactique et Ă©tait trĂšs habile Ă  l’utiliser au point que s’en Ă©tait une seconde nature. En vĂ©ritĂ©, ce vaurien exultait dans son cƓur. AprĂšs tout, il portait une armure de titane en dessous de ses vĂȘtements, ajoutant Ă  ça le fait que Shangguan Bing’er n’avait pas utilisĂ© d’énergie cĂ©leste, il n’avait presque rien senti. En tant que tel, son acte de douleur provenait uniquement de son subconscient et puisqu’il avait dĂ©jĂ  commencĂ© Ă  en profiter. Le voyant avoir aussi mal, Shangguan Bing’er ne put se pousser Ă  le frapper une seconde fois. AprĂšs s’ĂȘtre roulĂ© pendant un temps, Zhou Weiqing se calma enfin, mais il se tenait toujours par terre frĂ©missant comme s’il ne pouvait pas se relever. Je venais de remonter le temps, je n'en revenais pas. Moi, Capucine, je venais grĂące Ă  ce livre de faire un bond de douze ans en arriĂšre. Mais que va t-il se passer ? Que suis-je censĂ©e faire ? Y'a t'il des rĂšgles ? Je suis perdue... Je me retrouve dans un monde qui m'est plus que souvenir, si flou que ma mĂ©moire ne se retrouve plus, et les peu d'Ă©lĂ©ments qui me reviennent sont si vague... Mais quelle nostalgie ! Cette salle de classe, ce bureau oĂč je m'asseyais, ce soleil radieux qui n'Ă©tait pas gĂȘnĂ© par la pollution actuelle. Je me perdais dans mes pensĂ©es, dans mes souvenirs quand soudain la porte s'entrouvrit et une dame entra tout en disant - Les enfants, voici votre salle de classe durant tout votre annĂ©e scolaire, vous verrez sur vos bureaux des... Elle interrompit sa phrase aussitĂŽt qu'elle me vit dans cette mĂȘme salle et m'adressa la parole. Je ne l'entendais pas, du moins je ne faisais pas attention, je restais la bouche grande ouverte, Ă  contempler ce monde que j'ai connu jadis. Puis des sons me parvint dans mon oreille - Mademoiselle, Mademoiselle ? Qui ĂȘtes-vous et que faĂźtes-vous ici ? Je me retourna, me ressaisissant aprĂšs l'avoir entendu - Oui excusez-moi... Je suis Capu... euh non pardon, je m'appelle Julie ! disais-je en essayant de prendre le maximum d'assurance pour ĂȘtre crĂ©dible et ne pas rĂ©vĂ©ler mon identitĂ©. - Et que faĂźtes-vous ici Ă  cette heure-ci ? Vous faĂźtes partie du personnel ? - Ah euh, non non, je me suis Ă©garĂ©e... Disais-je tout en baissant la tĂȘte et sortant de la salle, prĂ©sentant mes excuses, quand je franchis la porte, je me vis... C'Ă©tait moi, devant moi, sans miroir, sans photo, je ne rĂȘvais pas, cette petite fille avec des chaussures roses toute mignonne que je voulais absolument Ă  l'Ă©poque, et ce cartable Diddle que j'aimais plus que tout, pas de doute, c'Ă©tait moi il y a douze ans. C'Ă©tait incroyable ! Je me suis figĂ©e, comme si le temps s'Ă©tait arrĂȘtĂ©. J'Ă©tais si innocente et je semblais si gentille Ă  l'Ă©poque. Pourquoi diable ais-je changĂ© ?! La moi d'il y a douze ans s'arrĂȘta elle aussi et me fixa avec insistance, elle semblait troublĂ©e... Afin d'Ă©viter un quelconque rapprochement je me retourna pour sortir de l'Ă©cole, et je vis... Slevin. Il se tenait derriĂšre moi, tout aussi troublĂ©, et semblait aussi me fixer... J'avais peur, peur qu'ils ne remarquent ma veritable identitĂ©... Mais c'est alors que je compris que ce n'Ă©tait pas moi qui Ă©tait la cible de leurs regards assassins, Ă  l'Ă©poque, je fus troublĂ©e par ce garçon, pour qui, dĂšs ce premier instant, j'avais des mis les voiles, le sourire aux levres en voyant cette si belle scĂšne "coup de foudre", et en sortant je rĂ©alisais que je me retrouvais seule, lĂąchĂ©e dans une ville sans aucun repĂšre, sans argent, sans endroit ou dormir, sans amis, sans rien. Comment survivre ? Je devais trouver une solution rapidemment, et c'est en pregardant le livre que je tenais dans les mains que je me suis dit qu'il y a douze ans, donc dans le monde oĂč je me trouve, Mathis et son frĂšre sont surement encore en vie. Peut-ĂȘtre devrais-je aller les voir et leur expliquer ma situation !Mais ce livre n'etait pas ecrit il y a douze ans, fin pas ecrit puisqu'il est theoriquement "vide" mais il n'Ă©tait pas paru, edite, voire mĂȘme pas pensĂ©. En mĂȘme temps, c'est ma derniĂšre et unique chance de m'en sortir, je n'ai plus vraiment le choix...Par chance, je me souvins que j'avais gardĂ© que je m'Ă©tais procurĂ©e Ă  la bibliotĂšque sur lequel figure l'adresse de Mathis. Je prie maintenant qu'ils habitaient lĂ -bas, douze ans pris les transports en commun, et me rendis dans l'immeuble oĂč j'Ă©tais allĂ©e quelques heures auparavant Ă  mon Ă©poque. C'est fou de voir les changements que le temps a opĂ©rĂ© sur les gens, les coutumes, les mentalitĂ©s et le paysage. Ce monde lĂ  semblait si calme et reposant, non empestĂ© par cette pollution et ces cons qui envahissent nos rues le soirs... Si mes souvenirs sont bons, je dois aller au 4Ăšme Ă©tage... Je pris l'ascenceur quand soudain, un pied surgit pour bloquer la porte qui se fermait petit Ă  petit. CoĂŻncidence ou pas, cette situation ressemblait Ă  celle que j'ai vecu au meme endroit douze ans plus porte se rĂ©ouvrit et un homme plutot petit, qui semblait calme et reservĂ©, entra dans l'ascenceur. Son visage m'Ă©tait famillier, il ressemblait Ă  l'homme qui m'a donnĂ© ce livre, le frĂšre de Mathis. Je me permis de lui demander son Ă©tage, et il me repondit qu'il allait au 4Ăšme, comme je m'y attendais. Au dĂ©but, j'hesitais, j'Ă©tais nerveuse, j'Ă©tais bloquĂ©e, ne pouvant faire le premier pas... Mais bon, c'est mieux d'avoir des remords que des regrets !- Vous ĂȘtes Mathis Cherving ?Il me regarda avec frayeur, tremblant de tout son corps, il bafouilla un mince son de voix me repondant - oui, que ?- N'ayez pas peur, je m'appelle Capucine, j'ai 18 ans et j'ai a tout prix besoin de vous Euh.. oui comme vous voudrez... Je m'installais dans son salon, et afin de briser le silence pesant, entre sa crainte et ma nervositĂ©, il me dit - Comment avez vous su qui j'Ă©tais ?- Vous ressemblez trait pour trait Ă  votre Vous connaissez mon frĂšre ?- Comment dire, c'est compliquĂ© et vous n'allez sĂ»rement pas me croire, mais c'est justement l'objet de ma venue ici. Vous voyez le livre que je tiens, il est Ă  votre nom, vous l'avez Ă©crit. - Vous mentez je n'ai jamais Ă©crit de livre ! Je suis en pleine recherche sur mon premier ouvrage mais je n'ai jamais ecrit ce livre !- Aujourd'hui oui, mais dans douze ans, vous aurez publiĂ© ce livre. Votre projet ne consisterait pas a remonter le temps ?Il Ă©tait surpris. - Comment etes vous au courant je n'en ai parlĂ© a personne, pas meme mon frere !- Vous ne comprenez pas ? Je viens d'une Ă©poque ulterieure, plus precisemment de douze ans, je suis arrivĂ©e dans ce monde grĂące Ă  votre livre...C'est yeux brillaient, il n'en revenait pas... Ce livre est... mon livre ? J'ai vraiment rĂ©ussi Ă  faire cela ? - Visiblement oui, lui lachais_je avec un air moqueur. Il avait les larmes aux yeux... C'Ă©tait Ă©mouvant. Il repris ses esprits et me regarda, il ne tremblait plus, comme s'il avait de nouveau pris confiance en lui ! Il me posa quelques questions - Suis je connu grace a ce livre ? S'est-il bien vendu ?- A mon epoque... vous ĂȘtes dĂ©cedĂ©...

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